
“La politique machiste utilise le débat émotionnel et l’attention médiatique générés par les questions relatives aux droits sexuels et reproductifs pour paraître « forte ». Elle utilise la criminalisation pour convaincre les électeurs que leurs vrais problèmes – d’insécurité, d’inégalité, de pauvreté, d’impuissance, de mécontentement – peuvent être résolus en s’attaquant à ces groupes plutôt que par une redistribution fondamentale du pouvoir politique et économique”, a déclaré le directeur général de l’IPPF, Alvaro Bermejo, lors d’un échange avec les membres des ‘Parlementaires pour l’Agenda 2030’, le groupe parlementaire pluripartite belge sur les SDSR.