Selon Perspective 2030, la coalition nationale d’ONG qui œuvrent et veillent à la réalisation de l’Agenda 2030, dont Sensoa fait également partie, de réel revirement dans la politique, il n’y en a toujours pas. La coalition publie un rapport critique qui dresse le bilan des efforts réalisés par la Belgique depuis la signature de l’Agenda en 2015.
Faire des choix politiques
Si la Belgique et les gouvernements des entités fédérées veulent faire du développement durable une réussite, ils doivent accélérer le mouvement et faire des choix politiques, indique la coalition. C’est impératif si nous voulons répondre aux besoins des générations actuelles sans hypothéquer ceux des générations futures. L’État doit par exemple promouvoir le recours aux énergies renouvelables, dissuader les banques d’investir dans les énergies fossiles et autres projets pouvant avoir des effets dommageables, restreindre l’utilisation d’huile de palme non durable, parvenir à l’égalité des sexes, etc. L’État se concentre encore trop sur des initiatives isolées et pas assez sur des modifications fondamentales de la politique.
Des propositions pour avancer
La coalition demande dès lors une réponse efficace et globale à tous les défis, et suggère elle-même aussi des propositions concrètes dans ce sens. Le bilan et les recommandations pour la réalisation des 17 objectifs de développement durable sont regroupés dans le rapport 'Mind the Gap'. Ce rapport doit servir de liste de contrôle de la durabilité pour le prochain gouvernement.
Tout le monde a droit à une bonne santé
En matière de santé, les ONG demandent que la Belgique s’attache au niveau international à éliminer l’inégalité d’accès à des soins de santé de qualité en renforçant les mécanismes de financement solidaires, en investissant dans le personnel de la santé, en évitant la privatisation des soins qui se fait au détriment de la qualité et de l’accessibilité financière, et en protégeant l’objectif public de la santé dans les accords commerciaux. Il est également demandé à la Belgique de réaliser un rattrapage dans l’aide au développement en faveur de la santé, y compris la santé et les droits sexuels et reproductifs dans le Sud, et d’œuvrer pour la prise en compte de la santé ainsi que de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la coopération européenne au développement.
Si la Belgique et les gouvernements des entités fédérées veulent faire du développement durable une réussite, ils doivent accélérer le mouvement et faire des choix politiques, indique la coalition. C’est impératif si nous voulons répondre aux besoins des générations actuelles sans hypothéquer ceux des générations futures. L’État doit par exemple promouvoir le recours aux énergies renouvelables, dissuader les banques d’investir dans les énergies fossiles et autres projets pouvant avoir des effets dommageables, restreindre l’utilisation d’huile de palme non durable, parvenir à l’égalité des sexes, etc. L’État se concentre encore trop sur des initiatives isolées et pas assez sur des modifications fondamentales de la politique.
Des propositions pour avancer
La coalition demande dès lors une réponse efficace et globale à tous les défis, et suggère elle-même aussi des propositions concrètes dans ce sens. Le bilan et les recommandations pour la réalisation des 17 objectifs de développement durable sont regroupés dans le rapport 'Mind the Gap'. Ce rapport doit servir de liste de contrôle de la durabilité pour le prochain gouvernement.
Tout le monde a droit à une bonne santé
En matière de santé, les ONG demandent que la Belgique s’attache au niveau international à éliminer l’inégalité d’accès à des soins de santé de qualité en renforçant les mécanismes de financement solidaires, en investissant dans le personnel de la santé, en évitant la privatisation des soins qui se fait au détriment de la qualité et de l’accessibilité financière, et en protégeant l’objectif public de la santé dans les accords commerciaux. Il est également demandé à la Belgique de réaliser un rattrapage dans l’aide au développement en faveur de la santé, y compris la santé et les droits sexuels et reproductifs dans le Sud, et d’œuvrer pour la prise en compte de la santé ainsi que de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la coopération européenne au développement.