
Dans le cadre du Sommet de Nairobi sur la CIPD, du 12, 13 et 14 novembre, les Parlementaires pour l’Agenda 2030, un groupe composé de parlementaires belges issus de tous les partis politiques, ont organisé au Sénat belge un séminaire consacré aux 25 ans du Programme d’action de la CIPD.
Les 25 ans de la CIPD, où en sommes-nous ?
Sietske Steneker, directrice de l’UNFPA à Bruxelles, a donné aux parlementaires un aperçu, d’une part, des succès obtenus, mais d’autre part aussi, des objectifs du Programme d’action de la CIPD encore à atteindre. Au cours des 25 dernières années, la mortalité maternelle a chuté de 40%, le nombre de grossesses chez les adolescentes a diminué d’un tiers, celui des mariages précoces d’un quart, et plus de femmes ont eu accès à la planification familiale.
Mais les progrès sont toutefois lents et inégaux. C’est ainsi qu’en Afrique subsaharienne, la mortalité maternelle demeure un énorme défi. Au niveau mondial, seulement 50% de toutes les femmes ont le droit de recourir à la planification familiale. Les obstacles sont nombreux. On n’a qu’à penser aux coûts à débourser, à la mentalité des prestataires de soins et, surtout, aux inégalités persistantes entre hommes et femmes.
Les 25 ans de la CIPD, où en sommes-nous ?
Sietske Steneker, directrice de l’UNFPA à Bruxelles, a donné aux parlementaires un aperçu, d’une part, des succès obtenus, mais d’autre part aussi, des objectifs du Programme d’action de la CIPD encore à atteindre. Au cours des 25 dernières années, la mortalité maternelle a chuté de 40%, le nombre de grossesses chez les adolescentes a diminué d’un tiers, celui des mariages précoces d’un quart, et plus de femmes ont eu accès à la planification familiale.
Mais les progrès sont toutefois lents et inégaux. C’est ainsi qu’en Afrique subsaharienne, la mortalité maternelle demeure un énorme défi. Au niveau mondial, seulement 50% de toutes les femmes ont le droit de recourir à la planification familiale. Les obstacles sont nombreux. On n’a qu’à penser aux coûts à débourser, à la mentalité des prestataires de soins et, surtout, aux inégalités persistantes entre hommes et femmes.