Les défenseurs des droits des femmes ont remporté une victoire importante lors de la 61ème session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies avec la reconnaissance de la santé et des droits sexuels et reproductifs comme des droits fondamentaux des femmes, « qui incluent le droit d’exercer un contrôle sur tout ce qui touche à leur sexualité – y compris leur santé sexuelle et reproductive – et à prendre à ce sujet des décisions libres et responsables, sans aucune contrainte, discrimination ou violence, ce qui contribuerait à la réalisation de leurs droits économiques, de leur indépendance et de leur autonomisation ».
L’autre résultat de la 61ème session de la Commission de la condition de la femme a été de reconnaître qu’il est de la responsabilité des autorités de lutter contre la violence et les comportements intolérables sur les lieux de travail et de protéger la santé et les droits sexuels et reproductifs des femmes.
Avec comme thème annuel l’autonomisation économique des femmes dans un monde du travail en pleine évolution, la commission reconnaît par ailleurs aussi que les femmes assument encore la plus grande partie des soins et des travaux domestiques non rémunérés et elle a, dans ce contexte, élaboré un plan à l’attention des gouvernements visant à réduire et à redistribuer ce travail en agissant au niveau des services publics, du travail et de la protection sociale ainsi que de l’accès à des services d’accueil et des soins abordables.
En dépit des résultats progressistes des négociations, la commission a toutefois refusé de citer des groupes spécifiques qui sont marginalisés partout à travers le monde du fait de leur race, de leur origine ethnique, de leur caste, de leur classe, de leur handicap, de leur âge, de leur séropositivité, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou de leur expression du genre.
Avec comme thème annuel l’autonomisation économique des femmes dans un monde du travail en pleine évolution, la commission reconnaît par ailleurs aussi que les femmes assument encore la plus grande partie des soins et des travaux domestiques non rémunérés et elle a, dans ce contexte, élaboré un plan à l’attention des gouvernements visant à réduire et à redistribuer ce travail en agissant au niveau des services publics, du travail et de la protection sociale ainsi que de l’accès à des services d’accueil et des soins abordables.
En dépit des résultats progressistes des négociations, la commission a toutefois refusé de citer des groupes spécifiques qui sont marginalisés partout à travers le monde du fait de leur race, de leur origine ethnique, de leur caste, de leur classe, de leur handicap, de leur âge, de leur séropositivité, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou de leur expression du genre.