La Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, Maggie De Block, et les membres du groupe parlementaire multipartite des « Parlementaires pour l’Agenda 2030 » ont visité la clinique de planning familial éphémère qui a ouvert ses portes au cœur du Parlement fédéral belge.
La Ministre et les députés ont été impressionnés par les histoires vécues par les femmes africaines consultant la clinique. Ils ont appris à connaître Isha Isha, une adolescente de 15 ans enceinte de cinq mois. Elle a été envoyée à la clinique par sa mère, qui a perdu deux autres de ses filles pendant leur accouchement. Après la mort de son père, Isha Isha a épousé un de ses vieux amis, aidant ainsi la famille.
Les députés ont ressenti la frustration de Coumba. Jeune femme ambitieuse, Coumba a fondé une entreprise avec ses pairs. Elle est allée à la clinique pour la pose d’un DIU. Elle voudrait avoir des enfants, mais pas maintenant, a-t-elle expliqué. Coumba a pourtant dû rentrer chez elle les mains vides. On lui a parlé d’une rupture de stock et conseillé l’abstinence.
L’histoire la plus touchante était sans doute celle de Hope. Mère de deux enfants à nouveau enceinte, elle a dû passer un test VIH. Hope n’a pas compris. Comment pouvait-elle être séropositive ? Elle a toujours été fidèle. Le médecin lui a demandé de revenir. Son plus jeune garçon doit être testé lui aussi.
Les histoires de ces femmes africaines étaient montées de toutes pièces. Elles étaient jouées par des acteurs professionnels, mais étaient basées sur des histoires vraies. Elles témoignent du fait que l’accès à la contraception reste un défi majeur pour beaucoup de femmes. 225 millions de femmes dans le Sud voudraient pouvoir empêcher ou reporter une grossesse, mais ne le peuvent pas.
À cause du besoin non satisfait de planning familial, beaucoup de femmes tombent enceintes à un âge précoce ou connaissent de multiples grossesses, avec peu ou pas de temps entre chacune. Cela met leur santé et leur vie en danger, ainsi que celle de leurs enfants. Selon les estimations, satisfaire ce besoin sauvera 150 000 femmes par an, préviendra 590 000 morts chez les bébés et empêchera un demi-million d’enfants de perdre leur mère.
Les hommes et femmes politiques belges ont compris que la communauté internationale doit intensifier ses efforts pour atteindre l’objectif d’accès universel à la santé sexuelle et génésique d’ici 2030.
Les députés ont ressenti la frustration de Coumba. Jeune femme ambitieuse, Coumba a fondé une entreprise avec ses pairs. Elle est allée à la clinique pour la pose d’un DIU. Elle voudrait avoir des enfants, mais pas maintenant, a-t-elle expliqué. Coumba a pourtant dû rentrer chez elle les mains vides. On lui a parlé d’une rupture de stock et conseillé l’abstinence.
L’histoire la plus touchante était sans doute celle de Hope. Mère de deux enfants à nouveau enceinte, elle a dû passer un test VIH. Hope n’a pas compris. Comment pouvait-elle être séropositive ? Elle a toujours été fidèle. Le médecin lui a demandé de revenir. Son plus jeune garçon doit être testé lui aussi.
Les histoires de ces femmes africaines étaient montées de toutes pièces. Elles étaient jouées par des acteurs professionnels, mais étaient basées sur des histoires vraies. Elles témoignent du fait que l’accès à la contraception reste un défi majeur pour beaucoup de femmes. 225 millions de femmes dans le Sud voudraient pouvoir empêcher ou reporter une grossesse, mais ne le peuvent pas.
À cause du besoin non satisfait de planning familial, beaucoup de femmes tombent enceintes à un âge précoce ou connaissent de multiples grossesses, avec peu ou pas de temps entre chacune. Cela met leur santé et leur vie en danger, ainsi que celle de leurs enfants. Selon les estimations, satisfaire ce besoin sauvera 150 000 femmes par an, préviendra 590 000 morts chez les bébés et empêchera un demi-million d’enfants de perdre leur mère.
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