Le manque d’informations, la désinformation, les mythes à propos du sexe et de la contraception, un accès limité voire inexistant à la contraception, mais aussi l’absence de dialogue entre partenaires au sujet de l’utilisation de la contraception et de la grossesse font que beaucoup de (jeunes) femmes vivent une grossesse non planifiée. Ces défis font que pour beaucoup de femmes partout dans le monde, l’un des choix les plus fondamentaux, à savoir être enceinte ou pas, n’est en aucun cas un choix libre et informé. Ces données sont au cœur du rapport sur l’État de la population mondiale 2022 du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA).
Ce rapport a été présenté durant un séminaire organisé à Bruxelles par l’UNFPA et les Parlementaires pour l'Agenda 2030. Le lancement a débuté par une présentation du rapport par Ian MacFarlane, de l’UNFPA, rapport qui a dévoilé les défis liés aux grossesses non désirées.
Sarah Hulsmans, collaboratrice politique à la santé reproductive chez Sensoa a examiné en détail la situation en Belgique. Notre pays est un bon élève en matière de contraception, mais nous pouvons certainement faire mieux. L’âge moyen des femmes qui font réaliser un avortement est de 29 ans, de sorte qu’il est opportun de réfléchir à l’allongement du remboursement des contraceptifs jusqu’à l’âge de 30 ans à fin de prévenir plus de grossesses non désirées. Il est par ailleurs nécessaire de mener une étude plus poussée sur la contraception hormonale et ses effets secondaires, étant donné les inquiétudes croissantes des femmes à cet égard. Nous n’avons pas un contrôle suffisant sur l’offre et la qualité de la formation relationnelle et sexuelle dans nos écoles. Elle ne peut être sans engagement.
Hayathe Ayeva, Présidente de Youth Action Movement d' ATBEF (membre de l’IPPF au Togo), a exposé la situation au Togo. L’utilisation des médias sociaux crée une désinformation importante à propos du sexe, de la grossesse et de la contraception. ATBEF tent de contrer cet état de fait en proposant des informations correctes au moyen d’une application spécialement conçue pour les jeunes. Ayeva a également mis l’accent sur le rôle des hommes et des garçons dans la prévention des grossesses non planifiées et elle a expliqué qu’il existe des blogs spécifiques et que des réunions spécifiques sont organisées pour apprendre aux hommes comment devenir un allié de leurs partenaires.
Guy Rayée, directeur-adjoint de la Direction générale de la Coopération au développement et de l’Aide humanitaire au Ministère des Affaires étrangères, a affirmé que de nombreux progrès ont été enregistrés en Belgique au cours des 50 dernières années et que notre pays porte cette attitude progressiste dans les partenariats avec des organisations telles que l’UNFPA et avec d’autres pays. La Belgique est également un avocat en matière de la santé et des droits sexuels et reproductifs sur la scène internationale.
Sarah Hulsmans, collaboratrice politique à la santé reproductive chez Sensoa a examiné en détail la situation en Belgique. Notre pays est un bon élève en matière de contraception, mais nous pouvons certainement faire mieux. L’âge moyen des femmes qui font réaliser un avortement est de 29 ans, de sorte qu’il est opportun de réfléchir à l’allongement du remboursement des contraceptifs jusqu’à l’âge de 30 ans à fin de prévenir plus de grossesses non désirées. Il est par ailleurs nécessaire de mener une étude plus poussée sur la contraception hormonale et ses effets secondaires, étant donné les inquiétudes croissantes des femmes à cet égard. Nous n’avons pas un contrôle suffisant sur l’offre et la qualité de la formation relationnelle et sexuelle dans nos écoles. Elle ne peut être sans engagement.
Hayathe Ayeva, Présidente de Youth Action Movement d' ATBEF (membre de l’IPPF au Togo), a exposé la situation au Togo. L’utilisation des médias sociaux crée une désinformation importante à propos du sexe, de la grossesse et de la contraception. ATBEF tent de contrer cet état de fait en proposant des informations correctes au moyen d’une application spécialement conçue pour les jeunes. Ayeva a également mis l’accent sur le rôle des hommes et des garçons dans la prévention des grossesses non planifiées et elle a expliqué qu’il existe des blogs spécifiques et que des réunions spécifiques sont organisées pour apprendre aux hommes comment devenir un allié de leurs partenaires.
Guy Rayée, directeur-adjoint de la Direction générale de la Coopération au développement et de l’Aide humanitaire au Ministère des Affaires étrangères, a affirmé que de nombreux progrès ont été enregistrés en Belgique au cours des 50 dernières années et que notre pays porte cette attitude progressiste dans les partenariats avec des organisations telles que l’UNFPA et avec d’autres pays. La Belgique est également un avocat en matière de la santé et des droits sexuels et reproductifs sur la scène internationale.