Alexander De Croo, qui lors de la précédente législature était ministre de la Coopération au Développement, a prêté serment le 1er octobre, aux côtés des autres ministres. Il pourra désormais diriger le gouvernement Vivaldi (baptisé ainsi en référence aux différentes couleurs des partis). Le gouvernement Vivaldi est composé des deux familles libérales, des deux partis verts, des deux partis socialistes ainsi que des chrétiens-démocrates du CD&V, soit 7 partis en tout.
En tant que ministre de la Coopération au Développement, De Croo s’est montré un fervent défenseur des droits des femmes quand, lors de la nomination de Trump et du rétablissement de la Politique de Mexico (la règle du bâillon mondial), en collaboration avec la ministre hollandaise Lilianne Ploumen, il a lancé l’initiative de mobilisation “She-Decides”. Celle-ci avait pour objectif de continuer à assurer l’accès de millions de filles et de femmes à leurs droits et santé sexuels et reproductifs.
Dans la composition du gouvernement Vivaldi aussi, De Croo s’est efforcé de respecter la parité. Au sein de son gouvernement composé de 15 ministres (14 + 1 premier ministre) et 5 secrétaires d'État, on compte en effet 10 femmes. Ce qui en fait le gouvernement belge le plus respectueux de l’équilibre hommes-femmes jamais formé. Le noyau reste toutefois masculin, puisque seules Petra De Sutter, ministre de la fonction publique, et récemment encore présidente du Forum parlementaire européen pour la santé et les droits sexuels et reproductifs et députée européenne, et Sophie Wilmès, l’ancienne première ministre, font partie du noyau dur de ce gouvernement.
Dans la composition du gouvernement Vivaldi aussi, De Croo s’est efforcé de respecter la parité. Au sein de son gouvernement composé de 15 ministres (14 + 1 premier ministre) et 5 secrétaires d'État, on compte en effet 10 femmes. Ce qui en fait le gouvernement belge le plus respectueux de l’équilibre hommes-femmes jamais formé. Le noyau reste toutefois masculin, puisque seules Petra De Sutter, ministre de la fonction publique, et récemment encore présidente du Forum parlementaire européen pour la santé et les droits sexuels et reproductifs et députée européenne, et Sophie Wilmès, l’ancienne première ministre, font partie du noyau dur de ce gouvernement.