L’Agence européenne des médicaments (EMA) a publié un avis favorable sur l’utilisation de l’anneau vaginal de dapivirine pour les femmes âgées de 18 ans et plus dans les pays en voie de développement afin de réduire leur risque de contracter le VIH-1.
Cet anneau mensuel est le premier outil de prévention contre le VIH à action prolongée et a été conçu pour aider à répondre aux besoins non satisfaits des femmes en matière de nouvelles méthodes pour se protéger du VIH étant donné les taux toujours élevés de VIH auxquels elles sont confrontées, en particulier en Afrique subsaharienne.
Cet anneau mensuel est le premier outil de prévention contre le VIH à action prolongée et a été conçu pour aider à répondre aux besoins non satisfaits des femmes en matière de nouvelles méthodes pour se protéger du VIH étant donné les taux toujours élevés de VIH auxquels elles sont confrontées, en particulier en Afrique subsaharienne.
L’anneau a été conçu pour aider à réduire le risque de transmission du VIH chez les femmes lors de rapports sexuels vaginaux. Les femmes l’insèrent elles-mêmes et le remplacent tous les mois. Fabriqué en silicone souple, l’anneau libère lentement de la dapivirine, un médicament antirétroviral, localement sur le site d’infection potentielle, avec une absorption minimale ailleurs dans le corps.
Le Comité des médicaments à usage humain de l’EMA a examiné l’anneau dans le cadre de la procédure de l’article 58, qu’il conduit en coopération avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour faciliter l’accès aux médicaments essentiels dans les pays à revenu faible et intermédiaire en utilisant les mêmes normes rigoureuses que pour les produits destinés à être utilisés dans l’Union européenne. Les prochaines étapes consisteront à obtenir les homologations nationales et à commencer le lancement de l’anneau dans plusieurs pays.
L’anneau devrait offrir aux femmes plus d’options pour se protéger contre le VIH, étant donné que ce sont encore les femmes qui portent le plus lourd fardeau de l’épidémie de VIH en Afrique subsaharienne, avec près de 1 400 nouvelles infections par jour.
L’anneau a été développé par le Partenariat International pour les Microbicides (IPM), grâce aux contributions des gouvernements donateurs, dont le gouvernement flamand.
Le Comité des médicaments à usage humain de l’EMA a examiné l’anneau dans le cadre de la procédure de l’article 58, qu’il conduit en coopération avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour faciliter l’accès aux médicaments essentiels dans les pays à revenu faible et intermédiaire en utilisant les mêmes normes rigoureuses que pour les produits destinés à être utilisés dans l’Union européenne. Les prochaines étapes consisteront à obtenir les homologations nationales et à commencer le lancement de l’anneau dans plusieurs pays.
L’anneau devrait offrir aux femmes plus d’options pour se protéger contre le VIH, étant donné que ce sont encore les femmes qui portent le plus lourd fardeau de l’épidémie de VIH en Afrique subsaharienne, avec près de 1 400 nouvelles infections par jour.
L’anneau a été développé par le Partenariat International pour les Microbicides (IPM), grâce aux contributions des gouvernements donateurs, dont le gouvernement flamand.