Le 15 mars dernier, la Chambre des représentants a adopté une résolution visant à promouvoir l’égalité des genres et l’émancipation des femmes lors de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable. La résolution, une initiative de la députée Fatma Pehlivan, appelle le gouvernement belge à s’engager davantage en faveur de ces thèmes.
Faites la promotion de l’égalité des genres de façon crédible
La parlementaire Fatma Pehlivan : “Nous voulons que la dimension du genre soit mieux évaluée d’un point de vue budgétaire dans la coopération au développement. Il faudrait aussi que le “genre” soit systématiquement intégré, mais aussi mesuré, par exemple lors de l’évaluation des résultats des programmes de développement. La coopération belge au développement devrait également renforcer son expertise sur ce thème, de sorte que les postes diplomatiques et l’Agence belge de Développement puissent promouvoir l’égalité des genres de manière solide et crédible.
Mettez en œuvre le Plan d’action Genre
Dans le cadre de l’adoption de la résolution parlementaire, la Chambre a organisé des auditions dans le cadre desquelles la société civile a pu expliquer son point de vue concernant l’attention accordée au genre et la mesurabilité de celui-ci dans les Objectifs de développement durable. Plusieurs organisations, comme Plan Belgique, 11.11.11 et Sensoa, avaient un message clair à adresser aux décideurs politiques : misez sur l’expertise en matière d’égalité des genres, renforcez la cellule Genre au sein de l’administration et d’Enabel et attelez-vous enfin à la mise en œuvre systématique du Plan d’action national sur le genre.
Continuez à dénoncer la Règle du Bâillon mondial
Dans cette même résolution, la Chambre demande au gouvernement de continuer à dénoncer la Politique de Mexico City, mieux connu sous le nom de la Règle du Bâillon mondial sur les forums européens et internationaux. Cette politique du gouvernement américain affecte des organisations étrangères qui offrent des services de planification familiale.
La parlementaire Fatma Pehlivan : “Nous voulons que la dimension du genre soit mieux évaluée d’un point de vue budgétaire dans la coopération au développement. Il faudrait aussi que le “genre” soit systématiquement intégré, mais aussi mesuré, par exemple lors de l’évaluation des résultats des programmes de développement. La coopération belge au développement devrait également renforcer son expertise sur ce thème, de sorte que les postes diplomatiques et l’Agence belge de Développement puissent promouvoir l’égalité des genres de manière solide et crédible.
Mettez en œuvre le Plan d’action Genre
Dans le cadre de l’adoption de la résolution parlementaire, la Chambre a organisé des auditions dans le cadre desquelles la société civile a pu expliquer son point de vue concernant l’attention accordée au genre et la mesurabilité de celui-ci dans les Objectifs de développement durable. Plusieurs organisations, comme Plan Belgique, 11.11.11 et Sensoa, avaient un message clair à adresser aux décideurs politiques : misez sur l’expertise en matière d’égalité des genres, renforcez la cellule Genre au sein de l’administration et d’Enabel et attelez-vous enfin à la mise en œuvre systématique du Plan d’action national sur le genre.
Continuez à dénoncer la Règle du Bâillon mondial
Dans cette même résolution, la Chambre demande au gouvernement de continuer à dénoncer la Politique de Mexico City, mieux connu sous le nom de la Règle du Bâillon mondial sur les forums européens et internationaux. Cette politique du gouvernement américain affecte des organisations étrangères qui offrent des services de planification familiale.