
Dans le monde entier, le confinement influence l’accès à la contraception pour les femmes.
La contraception risque de devenir de plus en plus rare. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène. Ainsi, les grandes ONG et les producteurs de contraceptifs préviennent que les chaînes d’approvisionnement de divers produits contraceptifs sont fortement perturbées. La Chine, qui est le deuxième plus grand exportateur mondial de produits pharmaceutiques, a fermé plusieurs usines de production de médicaments, ce qui a entraîné des ralentissements dans des usines indiennes produisant des médicaments génériques, notamment des contraceptifs.
La demande de contraceptifs de longue durée (stérilet ou implant) augmentera ensuite également. Après l’investiture de Donald Trump en tant que président des États-Unis par exemple, la demande de stérilets a augmenté, suite à la crainte des femmes que l’accès aux autres contraceptifs ne devienne plus compliqué sous son administration.
Dans la mesure où les autorités du monde entier limitent fortement la mobilité de leurs citoyens, l’utilisation de contraceptifs reculera. Les femmes qui dépendent des transports en commun pour se déplacer ou qui n’ont actuellement pas de revenus peuvent éprouver des difficultés à obtenir une prescription de contraceptifs et à en acheter.
L’accès limité à la contraception s’ajoute encore au besoin existant des femmes. Dans le Sud global, 214 millions de femmes souhaitant utiliser des contraceptifs n’y avaient déjà pas accès avant cette crise. Leur nombre ne cesse à présent d’augmenter.
La contraception risque de devenir de plus en plus rare. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène. Ainsi, les grandes ONG et les producteurs de contraceptifs préviennent que les chaînes d’approvisionnement de divers produits contraceptifs sont fortement perturbées. La Chine, qui est le deuxième plus grand exportateur mondial de produits pharmaceutiques, a fermé plusieurs usines de production de médicaments, ce qui a entraîné des ralentissements dans des usines indiennes produisant des médicaments génériques, notamment des contraceptifs.
La demande de contraceptifs de longue durée (stérilet ou implant) augmentera ensuite également. Après l’investiture de Donald Trump en tant que président des États-Unis par exemple, la demande de stérilets a augmenté, suite à la crainte des femmes que l’accès aux autres contraceptifs ne devienne plus compliqué sous son administration.
Dans la mesure où les autorités du monde entier limitent fortement la mobilité de leurs citoyens, l’utilisation de contraceptifs reculera. Les femmes qui dépendent des transports en commun pour se déplacer ou qui n’ont actuellement pas de revenus peuvent éprouver des difficultés à obtenir une prescription de contraceptifs et à en acheter.
L’accès limité à la contraception s’ajoute encore au besoin existant des femmes. Dans le Sud global, 214 millions de femmes souhaitant utiliser des contraceptifs n’y avaient déjà pas accès avant cette crise. Leur nombre ne cesse à présent d’augmenter.