« Il est de plus en plus difficile de pouvoir discuter de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans les textes des Nations Unies, tout comme des concepts ‘orientation sexuelle’ et ‘identité de genre’ ou encore ‘éducation sexuelle’. Ces sujets sont perçus comme des menaces pour ce qu’on appelle les valeurs familiales ‘traditionnelles’ », confie la sénatrice et professeur, Petra De Sutter. « Par ‘famille’, on entend seulement le ménage avec un homme comme soutien de famille et une femme qui reste à la maison pour s’occuper des enfants. »
Petra De Sutter a fait partie de la délégation parlementaire internationale du Forum parlementaire européen (EPF) qui s’est rendue à la 61ème session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies, qui se tenait à New York, du 13 au 17 mars 2017. Lors du voyage de délégation, les parlementaires ont suivi les sessions plénières de la Commission des Nations Unies et ont rencontré l'UNFPA, le Fonds des Nations Unies pour la population, des ONG internationales, ainsi que la Coalition internationale pour la santé des femmes.
Lors d’une rencontre avec la représentation du Saint-Siège (le Vatican), la délégation a discuté de la santé sexuelle et reproductive, de la violence faite aux femmes ainsi que des négociations en cours à la Commission.
La délégation était composée de parlementaires de Belgique, de Malawi, de Cameroun, de Finlande et d’Irlande. Le thème de la Commission de la condition de la femme était l’‘autonomisation des femmes’ et le monde du travail en pleine évolution. Petra De Sutter a participé à la délégation en tant que vice-présidente du Comité exécutif de l’EPF.
Lors d’une rencontre avec la représentation du Saint-Siège (le Vatican), la délégation a discuté de la santé sexuelle et reproductive, de la violence faite aux femmes ainsi que des négociations en cours à la Commission.
La délégation était composée de parlementaires de Belgique, de Malawi, de Cameroun, de Finlande et d’Irlande. Le thème de la Commission de la condition de la femme était l’‘autonomisation des femmes’ et le monde du travail en pleine évolution. Petra De Sutter a participé à la délégation en tant que vice-présidente du Comité exécutif de l’EPF.