
La baisse de l’aide allouée par la DGD à la prévention et à la prise en charge du VIH est particulièrement préoccupante. Celle-ci a diminué de moitié au cours de la précédente législature. Depuis 2017, on accorde nettement moins d’attention au VIH dans la coopération bilatérale et moins d’aide aux organisations multilatérales qui jouent un rôle moteur dans la riposte mondiale au VIH, comme par exemple l’ONUSIDA et le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (GFATM). L’aide multilatérale a toutefois connu une augmentation en 2019, mais insuffisante pour inverser la tendance.